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Noémie N.
22 avril 2024
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Texte d'origine : « La douleur qui précède la chute. Les fantômes qui dansent devant les yeux. Autour, tout est anéanti. C'est vide, déserté. L'image sans le son. On regarde autour de soi. Les formes, les objets, les gens qui habituellement font sens, sont vidés de leur substance. Comme lo...

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Extrait de l'article du Midi Libre sur Sève d'automne, chronique d'un retour

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Une gorgée de miel de châtaignier. C'est par une longue et douce sucrosité que vient refouler une soudaine amertume, que le premier roman de Sylvie Reymond Bagur s'ouvre. Louis, poilu de 14, de retour sans crier gare, les poumons brûlês de la moutarde des gaz allemands et le visage tuméfié, (re)découvre ses Cévennes après quatre éprouvantes années d'absence.

Au pays, il retrouve une femme, Rachel, et un trère, Élie, deux pièces d'un futur jeu toxique alors que les atrocités de la guerre hantent cet homme dont la langue s'égare à l'instant de dire I'indicible. Un combat à nouveau perdu, on ne porte pas l'honneur de la guerre en boutonnière, comme le prévrendra I'ami Jean. Tandis que les mots d'Henri Barbusse ne pénètreront jamais l'esprit de ceux qui sont restés. Et qui ont changé. Louis retrouve en Rachel, la fille d'une autre vallée, une femme qui a forgé sa place, et un frère, réformé qui lui a trouvé un toit. Un duo nourrissant un insupportable soupçon d'adultère. La mal est à l'oeuvre chez Louis, matricule 63122 frappé par l'infamie de son statut de prisonnier de guerre en juillet 17 dont sa seule secrète relation avec Ia nalure, cette vallée fidèle, apportera dans des pages d'un lyrisme puissant, I'apaisement. (...)

Article de Stéphane Barbier 

Le retour du fils prodigue
Le renard et la marmotte

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Phrases d'auteurs...

"Le romancier habite les seuils, sa tâche est de faire circuler librement le dedans et le dehors, l'éternité et l'instant, le désespoir et l'allégresse."  Yvon Rivard

" La vie procède toujours par couples d’oppositions. C’est seulement de la place du romancier, centre de la construction, que tout cesse d’être perçu contradictoirement et prend ainsi son sens."  Raymond Abellio

"Certains artistes sont les témoins de leur époque, d’autres en sont les symptômes."  Michel Castanier, Être

"Les grandes routes sont stériles." Lamennais 

"Un livre doit remuer les plaies. En provoquer, même. Un livre doit être un danger." Cioran

"En art, il n’y a pas de règles, il n’y a que des exemples." Julien Gracq, Lettrines 

"J'écris pour me parcourir. Peindre, composer, écrire : me parcourir. Là est l'aventure d'être en vie."Henri Michaux

"La littérature n’est ni un passe-temps ni une évasion, mais une façon–peut-être la plus complète et la plus profonde–d’examiner la condition humaine." Ernesto Sábato, L’Ecrivain et la catastrophe

"Le langage est une peau. Je frotte mon langage contre l'autre. " Roland Barthes, Fragments d'un discours amoureux 

 

 

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