Les Bacchus de Caravage m'obsédaient, leur chair délicate, légèrement rosée, que l'on devinait subtilement parfumée, cette chair secrètement désirée que je voulais frôler, caresser, dévorer même. Chefs d'œuvre ! Mais lorsque je l'avais abordé, c'est d'abord son odeur qui me retint, intense, aux effl...